Expertise et humanité au service des femmes
Pour aider à redonner sens à la vie, pendant et après la maladie
Le 18 octobre dernier, se tenait à Paris, le second Symposium OZALYS sur le thème de :
« L’innovation au service de la résilience ».
J’ai souhaité organiser ce rendez-vous unique en plein cœur d’Octobre Rose. Diffusé en direct sur Facebook, accessible à toutes et tous, il a réuni près de 9 000 personnes en France, Suisse, Belgique, Espagne mais aussi outre-Atlantique au Canada et aux Etats-Unis.
Cette soirée exceptionnelle en son genre avait pour vocation de mettre en lumière le travail de femmes et d’hommes – docteurs, chercheurs et entrepreneurs – engagés dans le combat contre le cancer et pour changer le regard sur les personnes affrontant la maladie. Ils ont partagé les dernières avancées scientifiques dans cette bataille et les nouveaux dispositifs pour préparer l’« après cancer ».
Sur un plan sociétal, Anne-Sophie Tuszynski, fondatrice de Cancer@Work – club de dirigeant-e-s engagé-e-s pour concilier et même réconcilier maladie et travail – a démontré combien et comment le combat contre le cancer constitue une compétence précieuse à valoriser et même revendiquer, sur Linkedin par exemple. Son credo : mieux intégrer la maladie et les « talents augmentés » que sont les anciens patients dans l’entreprise est source d’innovation. Hasard du calendrier, la veille, la campagne « Fighting cancer » de Cancer@Work à laquelle j’ai participé, recevait le coup de cœur du jury du Grand Prix Stratégies du Brand Content (récompense publicitaire).
À sa suite, le professeur Philippe Humbert, directeur du laboratoire de biologie cutanée et du CERT (Centre d’Etude et de recherche sur le Tégument) a partagé ses recherches sur la vie secrète des fibroblastes, cellules qui ne demandent qu’à être stimulées, mentalement, mécaniquement par massage et à l’aide de cosmétiques adaptés. En effet, si ces cellules fabriquant le collagène et l’acide hyaluronique, disposent des nutriments nécessaires à leur fonctionnement (vitamines C, B12 et B9), elles ont le pouvoir d’offrir une nouvelle jeunesse à la peau – même à celles les plus meurtries par les traitements et leurs effets secondaires.
Le docteur Nicolas Berreni, gynécologue obstétricien, fondateur et secrétaire du groupe de recherche et d’innovation en restauration génitale (GRIRG) et de la confédération européenne en restauration génitale (CERRG) a, quant à lui, présenté les nouvelles approches en restauration vulvo-vaginale après un cancer du sein – dont des traitements non chirurgicaux. Les lasers CO2 microablatifs fractionnés, les lasers de 2ème génération ERBIUM, les injections de nouveaux acides hyaluroniques améliorant la trophicité vaginale et le « remodelage » vulvaire par « stretching cellulaire, l’utilisation de graisse pour une « lipo-sculpture » des grandes lèvres ou la correction du fourreau vaginal, les lampes LED dédiées à la photobiomodulation de la sphère génitale, ou encore les peelings-vulvaires, la mésothérapie, la lumière intense pulsée (IPL) sont autant de moyens pour tenter de résoudre des perturbations somatiques et fonctionnelles de l’appareil génito-urinaire féminin à l’origine de troubles de l’intimité qui affectent gravement la sphère privée. Et aider les femmes à se reconstruire et retrouver l’estime d’elles-mêmes.
L’annonce d’innovations s’est poursuivie avec la professeure Patrizia Paterlini-Brechot, MD, PhD-professeur d’oncologie et de biologie moléculaire à l’université Paris Descartes, fondatrice du « Rarecells Group ». Elle a présenté la technologie ISET® permettant d’isoler les cellules tumorales circulantes dans le sang des malades dès les premiers stades d’un cancer invasif et donc de détecter précocement la maladie avant même le développement des métastases – facteur important du pronostic vital et de la réponse thérapeutique. Cette avancée constitue un pas en avant vers une médecine prédictive, personnalisée et non invasive.
Enfin, le docteur Alain Toledano, cancérologue radiothérapeute, président du conseil médical de l’institut d’Oncologie des Hauts de Seine, directeur médical de l’institut de radiochirurgie de Paris-Centre Hartmann a présenté l’ambition et la mission de l’institut Rafaël, maison de l’après cancer, inaugurée le 8 novembre, offrant aux patients des soins de support, au-delà des traitements médicaux. Le laboratoire OZALYS y ouvre son premier centre de soins esthétiques. Ceux-ci sont dispensés gracieusement avec des produits spécifiquement étudiés pour le bien-être des femmes mais également, pour la première fois, en toute sécurité pour les esthéticiennes professionnelles. Cet institut représente une étape supplémentaire vers une médecine centrée non plus sur la maladie mais sur l’individu.
Avec bienveillance et pédagogie, ces spécialistes dans leurs domaines donnent de l’espoir à des milliers de femmes et leur entourage. Des médecins ont découvert ou redécouvert des voies de recherche et de progrès.
Ces moments de partage d’expertises, de transmission de savoir ont été ponctués par des témoignages émus et émouvants comme celui de Laëtitia Martinoni, réalisatrice du film L’échappée (financé en partie par le laboratoire OZALYS) qui a été projeté à cette occasion. Le sujet : une patiente tombe amoureuse de son chirurgien. Le portrait d’une femme combattive face au cancer du sein tout en pudeur et optimisme joués par Vanessa Guedj et Alexis Michalik.
La blogueuse Eli Bernado, « cancer survivor » a lu l’un de ses poèmes, dédié à OZALYS.
Le laboratoire OZALYS incarne cet engagement dans une innovation permanente au service du bien-être et du confort de ces femmes.
Aussi, j’ai souhaité proposer de nouvelles solutions pour soulager les guerrières au quotidien en répondant à leurs besoins les plus spécifiques. Pour apporter toujours plus de réconfort, les aider à prendre soin d’elles et à trouver la force pour se battre, les équipes OZALYS ont créé un shampoing « Le Soin Unique », un Bain de bouche « Le Soin Confort » et une Eau de Parfum « L’élixir ».
OZALYS étant un projet global de société, J’ai conclu cet événement avec un appel à la mobilisation de toutes et tous pour que les femmes touchées par le cancer retrouvent leurs droits après la maladie. À ce jour, le manifeste a déjà récolté plus de 30 000 signatures.
Loin de me satisfaire du succès de ce Symposium, je poursuis, épaulée par une équipe experte et dévouée, la sensibilisation à la cause et le développement du laboratoire, avec l’ambition d’aider toutes les femmes, sans que les frontières ne soient un obstacle.
Aussi, je pars dans quelques jours en Asie avec Business France et je continue à apporter mon soutien à des associations et initiatives solidaires comme « Belle & Bien » qui propose des ateliers de soins esthétiques gratuits dans les hôpitaux.
A très vite…